Je suis Sophie, j'ai 18 ans et suis une jeune fille d'un naturel plutôt timide qui essaie le plus souvent possible de ne jamais se faire remarquer.
Lorsque je suis dans ma FAC, on pourrait dire que je rase les murs. Je n'ai pas l'habitude des contacts et on me trouve peu sociable.
Mais ce n'est pas que je suis dénuée d’apathie. Non, c'est simplement que ma timidité maladive m'empêche d'aller vers les autres.
Approcher une fille pour s'en faire une copine ? Je n'y arrive pas.
Alors approcher un garçon, n'imaginez-même pas tout le travail qu'il faut que je fasse sur moi !
Mais je me suis retrouvé de l'autre côté de la barrière un lundi matin alors que j'étais dans les toilettes de mon établissement.
J'étais tranquillement installée sur la cuvette à faire ma petite affaire quand une voix de fille, dans le box d'à côté, se fait entendre.
Une voix douce et posée me demande à travers la cloison si j'ai un peu de papier wc en rab ou un mouchoir.
Je tire sur le rouleau plusieurs feuilles, découpe d'un geste franc et direct et passe les feuilles par l'espace ouvert au ras du sol.
La main de la fille vient frôler la mienne et je sens comme une sorte de frisson.
La fille pousse un petit gémissement.
Il aura suffit de quelques seconde pour qu'elle tambourine à la porte des wc en me demandant si elle peut rentrer.
Je ne sais plus quoi dire, je ne sais plus où me mettre.
J'ouvre, alors que j'ai encore ma culotte au ras des chevilles.
La fille est là devant moi, une superbe brunette d'environ 18 ans comme moi.
Elle me regarde en me faisant un large sourire puis elle commence à s'agenouiller devant moi.
Je ne sais plus où me mettre et commence à comprendre où elle veut en venir.
Elle écarte subitement un peu plus mes jambes et avance sa bouche jusqu'à ma foufoune qui ne sait plus où donner du clito.
Elle me fourre sa langue dans le vagin comme une sauvage et me broute le minou comme une vraie folle du cul.
Je n'ai pas le temps de comprendre ce qu'il m'arrive qu'elle m'invite a me redresser et à me tourner.
Elle ouvre son sac à ses pieds et en sort un énorme gode rose en silicone.
Je n'ai pas le temps de lui parler et de lui demander de se calmer que la voilà qui me le place contre mes lèvres de la chatte avant de l'insérer tout doucement dans mon minou qui ne s'arrête plus de mouiller !
Je suis aux anges, je vois des étoiles, j'ai des frissons et je sursaute à chaque fois qu'elle enfonce cet énorme sextoy au plus profond de mon vagin.
Après quelques minutes elle le retire, et contemple son jouet.
Je me retourne et remonte ma culotte, un air complètement ahuri et apaisé et je la vois en train de lécher le godemichet en me faisant un clin d’œil.
Elle remet l'objet dans sa besace et sort de ma cabine, me laissant là, complètement shootée au sexe et encore toute surprise d'avoir vécue ma première expérience lesbienne impulsive.